Le PRN "Climat" a eu une portée considérable: plus de 1 500 conférences données par des chercheuses et chercheurs du PRN, mais aussi des ateliers organisés sur mesure pour les journalistes ainsi que de grands projets tels que des expositions, sans oublier des applications média sur l'éducation et l'information basées sur iPhone comme le "Jungfrau Klima Guide". De plus, un nouveau catalogue de Swiss Climate Change Scenarios (CH2011) a été produit et mis à la disposition des chercheurs, des parties prenantes et du public.
Par ailleurs, le PRN Climate a également collaboré avec succès avec les secteurs public et privé ainsi qu'avec d'autres participants (OFEV, Swiss RE). L'Agroscope (ART) est resté en contact étroit avec des groupes de participants issus de l'agriculture, avec des acteurs de la pratique, des personnes relayant l'opinion, des décideurs et des représentant-e-s des administrations cantonale et fédérale. Une nouvelle évaluation quant au choix des cultures en fonction des conditions de changement climatique en Suisse, une analyse des risques de sécheresse et des besoins en irrigation, ainsi qu'une recherche sur la planification optimale de nouveaux instruments visant à garantir l'agriculture contre les risques climatiques, tels sont les produits les plus importants qu'a générés le PRN.
Enfin, MétéoSuisse a développé de nouvelles applications et méthodes de probabilité pour les prévisions météorologiques et les projections climatiques. Elles sont désormais opérationnelles au coeur des prévisions météorologiques et de la gestion du risque climatique.
Le transfert de technologie a été quant à lui fort minime, situation imputable au thème même de la recherche, et n'a donc généré ni jeunes pousses d'entreprises, ni projets CTI, ni brevets ou licences.
Transfert de savoir et de technologie
Type | Nombre |
---|
Brevets déposés | - |
Licences | - |
Entreprises "start-up" | - |
Prototypes, démonstrateurs | 2 |
Processus, produits | 5 |
Projets CTI | - |
Au terme de leurs études, 22% des doctorant-e-s et post-doctorant-e-s ont trouvé un emploi dans le secteur privé ou public. Ces jeunes chercheurs représentent le pivot du transfert de savoir qui circule sans entrave vers le secteur privé et public.